Au 5104, route Marie-Victorin, existait, de 1922 à 1945, le très populaire restaurant de Thomas Giard. Derrière les badauds, notez les pompes à essence! Plusieurs commerces se sont succédé à cet emplacement; ce local a d'abord servi à Joseph Papin (grand-père) de manufacture de chaussures.
Au 5039, route Marie-Victorin – Maison d’Elzéar Lamoureux (Moïse Gosselin), maintenant le dépanneur Maxi.
Cette maison, jadis sise au 5025, route Marie-Victorin, a une longue histoire. Le notaire Zéphyrin Mayrand l'a habitée vers 1866. Au début 1900, lui succède le notaire J.-B. Dupuy. Par la suite, Albert Charron, manufacturier de chaussures, en fait sa résidence. De 1934 à 1971, cette maison abrita le magasin général des sœurs Juliette et Marie-Ange Laplante, qui fut ensuite repris par Mme et M. Fortunat Mandeville. La maison fut démolie en 1992 et le terrain est toujours vacant.
Au 5018, route Marie-Victorin, un édifice abritant une épicerie-boucherie depuis ses débuts. Succèdent à F.-X. Gervais qui ouvre la première en 1910, Léo Fortin, Alice et Lucien Chrétien, Armand et Jacques Labonté et Mario Berthiaume.
L'ancienne boucherie Gosselin, située au 509, rue St-Antoine. Aux dires de certains, la boucherie aurait fait de très bonnes affaires à l’époque où la Colonie des Grèves vivait son âge d’or.
Site du port de Montréal avec ses anciennes grues.
Photo aérienne du parc industriel.
Le bateau Terrebonne qui ravitaillait Contrecœur et qui a laissé son nom au populaire chenal qu’utilisent maintenant les plaisanciers.