En 1759, après la destruction de leur village par les troupes de Wolfe, les habitants de Saint-Joachim sont contraints de reconstruire. À cette occasion, pour mieux s’adapter au climat local et à l’environnement, l’emplacement et le style des constructions sont modifiés. Pour échapper au vent fort et humide, le cœur du village est déplacé un peu plus loin du fleuve, vers l’intérieur des terres.
Le fleuve Saint-Laurent a longtemps été la seule voie reliant les villages entre eux. De plus, on ne pouvait s’établir plus à l’est puisque les terres appartenaient au Séminaire de Québec.
Photo : Village de Saint-Joachim (coll. Les Archives de la Grande Ferme)