Tout comme la villa du point précédent, cette maison imite symboliquement les bâtiments de ferme. On voit ici sa déclinaison néoquébécoise construite en 1934, qui marque la volonté du retour au terroir.
Cette demeure est elle aussi coiffée d'un toit qui est percé de lucarnes-attiques sur ses façades avant et arrière. Remarquez aussi sa galerie en devanture qui est très similaire à celle du 6, avenue Carter. De plus, Il y a un parallèle à faire en ce qui concerne l'emplacement des ouvertures perçant la façade des deux propriétés.
Intérêt patrimonial
Ce bâtiments a une grande valeur patrimoniale de par son style à la fois représentatif et bien exécuté, ainsi qu’en raison de son excellente valeur d’ancienneté.
Crédit photo : Nancy Larivière, 2015
Le mur pignon à droite de cette maison a une particularité qui lui est propre dans le quartier. Remarquez le triplet d'ouvertures disposées de manière à créer un dégradé et qui laisse deviner, à l'intérieur de la demeure, la présence d'un escalier sur ce mur.