Bien que la colonisation ait eu pour but de transformer les chômeurs en agriculteurs, les tentatives de faire fructifier la terre à Bellecombe furent de courte durée. En effet, dès le milieu des années 50, les difficultés économiques liées aux ressources obligent une partie de la population à s’installer plus près des mines et de la ville. C’est le 2e quartier en importance pour la superficie et son territoire bénéficie de la présence de lacs et de grands espaces verts.
Source photo : BAnQ
Source : Audio-circuit, Rouyn-Noranda
Vue générale de Bellecombe à ses débuts.
À l'arrière plan, le premier magasin général de Saint-Roch-de-Bellecombe.
L'arrivée de la famille St-Roch.
Madame Anita Giguère et Monsieur Joseph Cliche devant leur demeure.
En 1938, la première équipe de baseball des rangs 7 et 8.
Tous les dimanches, les supporteurs se réunissaient pour encourager les équipes de Sainte-Agnès et de Saint-Roch.
Un inspecteur guide ici des ouvriers lors de la construction de routes.
Entrevues
Michel Cliche
Pierre Lapointe
Oliva Carrier
Musiques
Aimé Migneault, volume 1
L’arrivée, Michel Lord
Lectures
La Frontière « Arrivée des colons à Bellecombe »
Si loin, Jacques Michaud, Contes, légendes et récits de l’Abitibi-Témiscamingue, Éditions Trois-Pistoles
La Frontière « Construction des chemins à Bellecombe »
Photos
BAnQ et famille St-Roch / Lavoie