Dès le XVIIe siècle, le relief particulier du secteur du Cap-à-l’Orignal et particulièrement celui du pic Champlain, haut de 346 mètres (1 137 pieds), servent de point de repère aux marins qui naviguent sur le fleuve. C’est d’ailleurs pour cette raison qu'à partir de 1768, les premiers pilotes du Saint-Laurent choisissent de s’y installer même si la station de pilotage est située sur l’île du Bic.Photo : Mathieu Dupuis
Vers la fin du XIXe siècle, plusieurs familles, dont les Doucet, les Dumas, les Michaud et les Rioux, s’installent près du cap à l’Orignal pour y vivre, combinant l’agriculture, la pêche, la chasse et l’exploitation forestière.Photo : Mathieu Dupuis
Vers les années 1930, le secteur Cap-à-l’Orignal devient un lieu de villégiature très recherché, accueillant des Américains et des Canadiens anglais fortunés. La maison d'été de la famille Lyman, construite dans les années 1920, loge aujourd'hui le salon de thé La rose des thés.Photo : Mathieu Dupuis