Rang Saint-Thomas

Le cœur d'une région fertile

À l’extrémité sud-ouest de la Plaine de Saint-Narcisse, le rang Saint-Thomas traverse une petite butte à partir de laquelle un large paysage se révèle. Le relief environnant résulte de l’influence du socle des Appalaches. La photo offre une vue sur le rang Saint-Thomas, près de la jonction du rang Sainte-Anne.

Crédit : Jean-Pierre Ducruc.

Largement cultivable

On découvre un territoire dans lequel la densité des terres fertiles est parmi la plus élevée de la MRC. Environ 70% du territoire est cultivable. Cette autre photo du Rang Saint-Thomas offre une vue en direction du village de Saint-Narcisse.

Crédit : Jean-Pierre Ducruc.

La qualité des sols

L'excellente qualité des sols rend ceux-ci très fertiles. Hormis ceux d’origine glaciaire situés sur le haut de certaines ondulations du relief, comme on peut en voir sur le rang Saint-Thomas, la majeure partie des sols provient d’alluvions déposées, au Quaternaire, par l’ancêtre de la rivière Beaurivage, suite au retrait de la mer de Champlain.

Étant donné l'espace considérable consacré à l’agriculture, le couvert forestier se trouve fragmenté en parcelles de petites tailles, dominés par des peuplements feuillus. On y trouve quelques érablières de superficies modestes.

La photo a été captée après la récolte du soya.

Crédit : Jean-Pierre Ducruc.

Production porcine

La production porcine règne en maître autour de Saint-Narcisse. Ceci explique la forte concentration de bâtiments d’élevage bas et allongés qui jalonnent la campagne.

Crédit photo : Jean-Pierre Ducruc.

La moitié des terres vouée aux grandes cultures

Dépourvus de pierre et avec une texture argilo-sableuse, les sols environnants ont facilité le développement des grandes cultures sur de vastes parcelles de terrain. À elles seules, elles accaparent la moitié des terres cultivées (en moyenne 30 hectares chacune).

Photo : Terre agricole et installations de séchage du grain à Saint-Narcisse.

Crédit : Claire Gauthier.

Cultures fourragères

Les terres où l'on fait les foins (cultures fourragères) occupent deux fois moins d'espace. Elles sont situées sur de plus petites parcelles (de 12 hectares en moyenne). La photo offre une vue sur une terre cultivable et un bâtiment d’élevage porcin.

Crédit photo : Claire Gauthier.

Ferme laitière

Des silos d’ensilage indiquent parfois la présence d’éleveurs laitiers.

Crédit photo : Jean-Pierre Ducruc

Extrait de
Nous sommes... les collines

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Présenté par : MRC de Lotbinière
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