Bellecombe

De votre point d'arrêt, comparez ce que vous avez sous les yeux avec la photo d'époque qui vous est présentée.

Ce qui abrite désormais le bureau du quartier de Bellecombe et la bibliothèque était autrefois le couvent et l'école du village, accueillant les élève de la 6e à la 9e année. À l'époque où c'était un couvent, les sœurs Notre-Dame-Auxiliatrices en ont été les occupantes. Entre le bâtiment devant lequel vous vous trouvez et l'église se trouvait auparavant le presbytère, aujourd'hui disparu. 

Situé en bordure de lacs et de grands espaces verts, Bellecombe offre une belle qualité de vie. D'une superficie totale de 733 km2, ce quartier est le deuxième plus vaste du territoire de Rouyn-Noranda après Cadillac. Profitez de votre balade pour en explorer ses racoins et ainsi faire de belles découvertes. 

Source photo : BAnQ 

Fondé en 1941, il était très actif au cœur du village et permettait aux femmes d'acquérir d'importantes connaissances pour les travaux de la maison, dont la couture, le jardinage, l'éducation et la cuisine. 

Source photo : BAnQ 

Voyez ici, à l'arrière plan, le premier magasin général de Saint-Roch-de-Bellecombe. 

Source photo : BAnQ 

Le célèbre auteur-compositeur-interprète et musiciens Jacques Michel est originaire de Bellecombe. Pour en savoir davantage consultez la section Faits saillants du panneau d'interprétation. 

Crédit photo : Elizabeth Delage

Ce dessin au crayon représente le passé agricole de Bellecombe par la présence du vieux poteau de clôture, du bidon de lait et du vieux râteau à foin. Le présent se manifeste par le bois vieilli qui symbolise la disparition des granges dans cette localité ainsi que dans toute la province. 

Notre regard poursuit son chemin vers le haut de l’œuvre où nous découvrons Bellecombe, avec ses bâtiments restaurés et la tour au loin qui symbolise les communications d’aujourd’hui.

Artiste : Bernard Béland 

Année : 2016

Matériaux : graphite sur panneau UHD 

Bernard Béland est né à Montréal en 1953. Il arrive en Abitibi-Témiscamingue à 20 ans pour y travailler. Il fini par s'y installer et c'est à Bellecombe qu'il élit domicile. 

Son goût pour la peinture s'est manifesté par hasard. Le paysage qui l'entoure l'émerveille et alimente sa pratique. 

L'huile est son médium préféré, mais il utilise aussi l'encre de chine, le crayon plomb, le pastel et l'acrylique. Autodidacte, son goût pour l'art et la peinture se développe et est en constante évolution depuis les années 1980. 

Crédit photo : Conseil de la culture de l'Abitibi-Témiscamingue

1935 : fondation de la paroisse Sainte-Agnès-de-Bellecombe et célébration de la première messe 

1938 : ouverture de la paroisse de Saint-Roch-de-Bellecombe avec l'établissement dans les rangs 1, 2 et 3 de colons provenant d'Asbestos, de Magog, de Lac-Mégantic, de Coaticook et de Scottstown 

1941, 1945 et 1947 : plusieurs feux de forêt malmènent les réserves de bois sur lesquelles comptent les colons pour subsister

1954-1955 : à la suite de l'abandon des terres et de la désertion d'une partie de la population vers les mines, des camps d'été sont construits et des commerces de détail redémarrent grâce à la chasse et à la pêche

Milieu des années 1960, début 1970 : vide politique et fermeture de la commission scolaire locale à la suite de la régionalisation scolaire

Après 1969 : fin des services religieux à Saint-Roch, en raison de la décroissance de la population

1975 : fusion de Saint-Roch avec Sainte-Agnès

Fin des années 1970 : arrivée dans la localité de jeunes couples, entraînant de nouvelles constructions

1979 : municipalisation 

2002 : fusion avec les autres municipalités de la MRC