Murale Sherbylove

Techniquement et artistiquement, la murale Sherbylove est la plus compliquée que les artisans du groupe MURIRS ont eu à réaliser. L'équipe y a consacré trois mois de travail.

Le mot hashtag #Sherbylove provient d'une histoire d'amour qui remonte à mai 2011. Après que deux blogueuses originaires de Montréal soient venues découvrir un des circuits de Sherbrooke, l'une de celle-ci a résumé son séjour en un mot: Sherbylove. 

Le mot hashtag est ici représenté par cet immense cœur, lequel se veut un hommage à une génération qui, à l’ère des réseaux sociaux, s’active à faire battre le cœur du centre-ville, sans pour autant renier son passé, considérant que la rue Wellington fut, jadis, le lieu où tout se passait à Sherbrooke.

Les artistes peintres devaient descendre de l’échafaud de dix à douze fois par jour (141 marches) pour visualiser l’œuvre d’un angle différent, ceci à travers le temps chaud de l'été 2016.

Dans le coin inférieur droit, les artistes ont fait une place à une figure mythique du centre-ville, une dame décédée en février 2016.

Connue sous le nom de «Madame Bou», Francine Lafond avait l'habitude de dire «bou?!» aux gens qui fréquentaient le centro. 

Madame Bou était bien connue et aimée, particulièrement auprès des jeunes habitués du centre-ville.

Saurez-vous repérer les éléments suivants dans la murale Sherbylove?

DIFFICILE
1 oiseau rouge (A), 1 plante (B), 1 chien (C), 1 lutin (D)