Croquis réalisé par l'artiste Rith Kesselring.
Geneviève Sabourin et Consuelo De La Bastida, stagiaires, lors de la réalisation de la murale.
Native de Zezikon (Thurgau), Suisse.Ryth Kesselring déjoue les lignes réelles et nous transporte dans un monde transitoire où la nature prend une toute autre forme de vie. Ayant grandi à la campagne, à Upton en Montérégie, et ayant une formation en herboristerie et en naturothérapie, son travail repose sur les liens et l’interaction entre l’être, son environnement et la nature.Dès l’âge de 20 ans, Ryth Kesselring parcoure le monde pour découvrir de nouvelles cultures et la grandeur des forces de la nature. En trekking aux West fjords de l’Islande en passant par l’Himalaya, elle cherche l’inspiration dans la nature, les lieux reculés, purs, et les peuples qui y vivent.Une carrière en pleine expansion : artiste peintre, muraliste, consultante et coordonnatrice d’événements, Ryth Kesselring a reçu plusieurs prix pour ses œuvres originales et audacieuses. Elle diffuse son art au Québec et en Suisse.
L’érection canonique de la paroisse de Sainte-Christine a lieu en 1888 et la municipalité est officialisée en 1894.Cependant, dès 1863, l’église anglicane All Saints Anglican Church a desservi la petite communauté protestante des environs. Elle existe toujours, sur le 8e rang, au lieu-dit Davidson Hill. Son petit cimetière rappelle les noms des familles anglophones de Sainte-Christine.Une chapelle catholique, desservie par un missionnaire en provenance des villages voisins, est d’abord construite en 1884, à mi-chemin entre les établissements des colons francophones déjà présents au nord et au sud de la paroisse. Elle a subi beaucoup de modifications avant d’être remplacée, en 1927, par l’église actuelle.Sainte-Christine est établie sur les premiers contreforts des Appalaches; ses harmonieuses collines surplombent ses prairies en cultures et en pâturages et ses forêts où croissent conifères et feuillus.Les premiers colons francophones s’installent sur les terres de Sainte-Christine au début des années 1860. Dès 1864, ils présentent une requête, au nom des 121 personnes qui habitent la Pointe d’Acton, pour obtenir leur propre paroisse religieuse formée d’un territoire à détacher de Saint-Jean-Baptiste-de-Roxton, de Saint-Fulgence-de-Durham et de Saint-André-d’Acton. Ils entendent faire la même démarche pour la reconnaissance civile d’une nouvelle municipalité. Ils devront cependant attendre quelques décennies avant d’obtenir leurs propres institutions.L’agriculture a toujours été le principal moteur de l’économie de Sainte-Christine. On y retrouve des fermes laitières, porcines et bovines, de grandes cultures fourragères et des exploitations serricoles et on y pratique la sylviculture et l’acériculture.Les Christinoises et les Christinois profitent de la chaleur humaine que leur procure la vie dans leur petite municipalité tout en bénéficiant des grands espaces qu’elle leur offre.Source : Société d'histoire de la région d'Acton
Beurrerie de Sainte-Christine.Source: Conrad Dupont
Corvée à Sainte-Christine.Source: Francine Dupuis Loranger
Ferme de Sainte-Christine.Source: Aline St-Amour.
Essouchage.Source: Aline St-Amour.
Coeur villageois.Source: Société d'histoire de la région d'Acton.
Transport du bois.Source: Aline St-Amour.