L’année 1855 voit la fondation de Sainte-Adèle. Le vainqueur de la première élection de cette même année est Isidore Legaut, constructeur de l’église. Les décisions du conseil sont à l’époque annoncées sur le perron de l’église par un crieur après la messe du dimanche.
Près de 300 familles vivent à l'époque sur le territoire de Sainte-Adèle. Au début du 20e siècle, le village se divise en deux, soit Sainte-Adèle-en-Bas et Sainte-Adèle-en-Haut. La démarcation entre village et paroisse est encore visible de nos jours sur les rues Blondin et Ouimet.