La fresque est réalisée en 2012 par le peintre de renommée internationale, Saoul Ruano Guillen. Il choisit d’habiter La Macaza, une déformation de Macassa, le nom d’un Amérindien qui vivait en bordure du lac du même nom et qui signifierait « le batailleur ».
C’est dans le ruisseau Chaud que le curé Labelle s’est retrouvé à l’eau, alors que le pont à moitié fait cède sous le poids des chevaux qui tirent sa voiture. « Il flottait à merveille, à l'eau comme en tout, et en fût quitte pour un bain qu’il n’avait nullement prévu pour les cours de son exploration », peut-on lire dans un article de La Presse publié en mars 1908. En 1896, le village compte entre 50 et 60 habitants. Aujourd’hui, on dénombre environ 1000 résidents, dont près du tiers sont des villégiateurs. Résidents comme vacanciers apprécient la nature et les cinq principaux lacs qu’on retrouve sur le territoire.
La municipalité de La Macaza fait partie de la Route du Lièvre Rouge, un circuit touristique élaboré par la Société d'histoire et de généalogie des Hautes-Laurentides.
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