Présenté par
Parc régional des Grandes‑Rivières du lac Saint‑JeanAmérindiens, Français et Anglais domptent des rivières sauvages et développent l’industrie des pelleteries. S’en suit un bouillon de cultures qui donne un premier visage à la « mondialisation ».
STATIONNEMENT ET CAMPING
SE RENDRE AU SITE TOURISTIQUE DE LA CHUTE À L'OURS
MAISON DU PARC RÉGIONAL DES GRANDES-RIVIÈRES DU LAC SAINT-JEAN
BUREAU D'INFORMATION TOURISTIQUE DE MARIA-CHAPDELAINE
OPTION SANS INTERNET
Utilisez l’option « précharger » sur votre appareil intelligent. Vous pourrez ensuite accéder à tous les contenus sur le terrain via le menu « mes circuits » et serez guidé par GPS sans devoir être connecté à Internet.
CRÉDITS
Cette production multimédia a été développée par le Parc régional des Grandes-Rivières du lac Saint-Jean grâce au soutien financier de la MRC de la Maria-Chapdelaine.
COORDINATION
Dominique Gobeil, Parc régional des Grandes-Rivières du lac Saint-Jean
RECHERCHE HISTORIQUE
Frédérique Fradet, Société d'histoire et de généalogie Maria-Chapdelaine
Jean-René Boutin, Société d'histoire et de généalogie Maria-Chapdelaine
RÉALISATION
Gino Duchesne, Télévision locale Dolbeau-Mistassini TVLDM-9
MONTAGE
Julie Boucher, stagiaire, Cégep de Saint-Félicien
NARRATION
Mélanie St-Germain
Bruno Paradis
Commentaires
Le commerce des fourrures: choc des cultures